L’un des nôtres, danseur de corde, a jeté son balancier ! Il avait un grain de voix à la Léotard. Son éclat de rire faisait précieux duo avec celui de Pierre Gurgand. Ces deux-là s’entendirent comme gosses hilares ! Joie et mélancolie, habitaient en voisines les poches bordant joliment ses yeux. Olivier Poupard, charmant complice, couche-tard parti trop tôt, fut « l’herbe tendre » chanté par Simon. Nous n’oublierons pas ses lumières pour la Boisselière ! En lui, un je ne sais quoi t’incitait à grandir en bonté, en élégance.
boisseliere79
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